Les citations d'Alexandre Astier (et du roi Arthur de Kaamelott)

Non, moi j’crois qu’il faut qu’vous arrêtiez d’essayer d’dire des trucs.

Mais comment voulez-vous que j’vous prouve que j’suis moi, ça devient débile, à la fin !

La comédie doit être un genre sérieusement fait.

Je trouve que les gens ont une capacité dingue à s’occuper de ce qui ne les regarde pas.

C’est pas faux

L’humilité, c’est pas quand il y a des infiltrations ? 

Le début de la parole, c’est la fin de la violence.

Dans ce que je fabrique, j’écris pour faire plaisir à des acteurs. Pas pour des personnages. Le plaisir est la condition sine qua non du jeu, l’aliment donné à l’acteur pour qu’il joue avec du sentiment.

Écrire seul, cela aboutit à un truc certainement bourré de défauts, mais très signé.

J’ai appris en toutes ces années à respecter et à aimer les gens qui ne sont pas comme les autres […] Ils font plus que les autres et font même plus pour les autres.

Nouvelle technique : on passe pour des cons, les autres se marrent, et on frappe. C’est nouveau.

Y a pas à dire, dès qu’il y a du dessert, le repas est tout de suite plus chaleureux !

Quoi que vous fassiez, vous vous apprêtez à devenir, pour vos enfants, un vieux con. Le mieux est de l’accepter le plus tôt possible.

On en a gros

C’est quand même pas de chance pour lui : les rares fois où il arrive à faire quelque chose de ses dix doigts, il se goure quand on lui demande son nom !

Le truc c’est qu’il y a un truc qui s’appelle la morale et qu’il y a une catégorie de la population qui essaie d’imposer sa morale aux autres.