Du 26 avr. au 9 mai 2024
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La nouvelle œuvre de Katherine Pancol, intitulée « La mariée portait des bottes jaunes », est un roman palpitant qui ravira les fans de l'autrice, mais également tous ceux qui apprécient les histoires émouvantes et surprenantes.
Le roman raconte l'histoire d'India et Louis, deux enfants qui se retrouvent abandonnés devant la grille du Château de Berléac. Cette demeure prestigieuse appartient à une famille bordelaise, fière de son vignoble et de ses ancêtres. Malgré leur candeur et leur fantaisie, les enfants vont bouleverser les codes de cette famille, révélant ainsi de nombreux secrets et trahisons.
Crédit photo : Albin Michel
La plume de Katherine Pancol est une fois de plus à l'honneur dans ce roman. Elle utilise une écriture fluide et poétique pour raconter l'histoire de ces deux enfants, tout en abordant des thèmes profonds tels que la famille, la trahison et l'avidité. L'auteure arrive ainsi à mélanger les genres avec brio, en passant de moments drôles à des moments tragiques, tout en gardant une touche de tendresse.
Les personnages de ce roman sont très bien construits. Les enfants, India et Louis, apportent fraîcheur et légèreté dans cette histoire, tandis que les membres de la famille, avec leurs secrets et leurs dissimulations, apportent une tension dramatique qui maintient le lecteur en haleine tout au long du roman.
En résumé, « La mariée portait des bottes jaunes » est un roman à lire absolument pour tous les fans de Katherine Pancol, comme la merveilleuse saga de : « Les Yeux jaunes des crocodiles », « La valse lente des tortues » et « Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi » ou encore la trilogie « Muchachas ». Les fans de l'autrice se préparent donc à se régaler une nouvelle fois en découvrant ce nouveau roman.
À quoi reconnaît-on un livre qui parle aux lecteurs ? Salinger connaissait la réponse :
Mon rêve, c'est un livre qu'on n'arrive pas à lâcher et quand on l'a fini, on voudrait que l'auteur soit un copain, un super copain, et on lui téléphonerait chaque fois qu'on en aurait envie.
Il se pourrait bien que « La Mariée portait des bottes jaunes » vous procure cet effet !
